La controverse UBER
Pour ou contre la venue de Uber à Montréal
Craint pour la sécurité des passagers qui utilisent les nouvelles applications disponibles depuis l’automne dernier à Montréal. Il croit que ces téléphones pourraient tomber dans les mains d'individus peu scrupuleux qui leur permettraient de faire du taxi dans la voiture d'un particulier.
@Doly Saliba - CPCDIT
@Uber salue l'offensive de sensibilisation du public afin de dénoncer les conséquences néfastes du transport illégal et ses risques pour la sécurité du public
@Mario Denis - Regroupement des travailleurs autonomes
@Doly saliba - DPDPTI
@Uber «Quand le Bureau du taxi de Montréal donne un permis, il est rattaché à un véhicule assuré qui a sa mécanique inspectée tous les six mois. On va se retrouver avec des accidents, des vols, des viols et ce ne sera pas le bon chauffeur.
@ Jugland - Bureau du Taxi
@Poeti « le transport illégal c’est rouler sans assurance adéquate sans formation spécifique, sans vérification des antécédents. »
SÉCURITÉ
Assurance
Politique public
Dossier criminel
Jusqu'ou doit se rendre l'examen du dossier juridique pour les chauffeurs ?
Doit-on renforcer l'examen mécanique et diminuer l'âge moyen des voiture?
Peer review
Les données collectée servent à qui et à quoi ?
Les usagers de Uber peuvent-ils être couverts par une police d'assurance ?
@Bureau du Taxi
@Bureau du Taxi
@Poeti L’industrie du taxi, est un joueur incontournable dans l’offre de transport montréalais l’un des enjeux abordés par la politique est d’assurer une sécurité adéquate aux chauffeurs et aux clients.
@Uber au-delà du permis, les chauffeurs de taxi sont régis par la Commission de transport du Québec, qu'ils doivent suivre un cours, détenir un permis de chauffeur, détenir une voiture de moins de cinq ans, s'inscrire à la TPS et à la TVQ, se soumettre périodiquement à une inspection mécanique et détenir une assurance valide, le tout dans le but de protéger le public. Si un accident survient pendant un transport illégal, les passagers ne sont pas couverts.
@Mario Denis - Regroupement des travailleurs autonomes
Uber est-il un service sécuritaire ?
Examen public de la Ville de Montréal sur l’enjeu de la sécurité
Nous avons mis au point un processus de vérification qui comprend à la fois une vérification du casier judiciaire à l’échelle nationale, basée sur les données de la GRC ainsi qu’une recherche dans les bases de données de la police municipale, lesquelles comportent l’information la plus complète en matière d’infractions
@Nicolas Guillemette - Uber Montréal
@Nicolas Guillemette - Uber Montréal
@Dominique Roy - Taxi Diamond
@Uber le transport de personnes contre rémunération impose le contrat d’une assurance commerciale, or « les compagnies n’en proposent pas pour le grand public ». L’industrie du taxi s’inquiète de la sécurité de la clientèle.
@Bureau de l'assurance du Canada
@Poeti il ny a pas de positionnement officiel de l’industrie de l’assurance. Chaque chauffeur d’Uberx doit demander à leur assureur.
@Uber Notre couverture de 5 000 000$ US représente plus de cinq fois les exigences pour les taxis de Montréal et est offerte par une compagnie d’assurances classée A+ (supérieure) selon l’agence de notation A.M. Best.
@Mario Denis - Syndicat des travailleurs autonomes
@Uber "au-delà du permis, les chauffeurs de taxi sont régis par la Commission de transport du Québec, qu'ils doivent suivre un cours, détenir un permis de chauffeur, détenir une voiture de moins de cinq ans, s'inscrire à la TPS et à la TVQ, se soumettre périodiquement à une inspection mécanique et détenir une assurance valide, le tout dans le but de protéger le public. Si un accident survient pendant un transport illégal, les passagers ne sont pas couverts.
@Mario Denis - Syndicat des travailleurs autonomes
Assurance
@Protégez-vous (13 février 2015)
@Poeti Uber s’assure de la vérification des antécédents judiciaires (n’accepte pas les automobilistes ayant 2 infractions mineures au code de la route) alors que cette pratique n’est pas généralisée dans l’industtrie du taxi.
@Dominique Roy - Taxi Diamond
@Poetil’obligation de contrôler les antécédents existe bien que ce ne soit pas une pratique généralisée à l’industrie. Aussi, selon lui, « chauffeur de taxi, c’est un métier, ça ne s’improvise pas »
@Poeti Les technologies de transport urbain ont un module de paiement qui permet aux chauffeurs d’identifier le client avant qu’il embarque dans le véhicule. En sus, si un geste criminel est commis à l’encontre d’un chauffeur, le module de paiement permet d’identifier la personne responsable
@Vincent Geloso - Institut Economique de Montreal
Antécédents judiciaires
Mai
2014
24 fev
2015
Aout
2014
Initiateur de la démarche d’une campagne de sensibilisation sur les risques liés au transport illégal intitulé « Industrie du taxi : le transport illégal, c'est non » qui a mobilisé les travailleurs de l’industrie du 23 au 28 février 2015.
• Obliger par voie réglementaire, la localisation par GPS en tout temps et la connexion à une centrale (avec alerte 911);
• - Obliger les chauffeurs d’accepter le paiement par cartes de crédit, de débit et les coupons de taxi et songer à une tarification de jour et de nuit;
• - Imposer un code d’éthique universel avec obligation d’y adhérer, et pour les travailleurs indépendants, l’obligation d’être relié à un organisme de contrôle;
• - Continuer les efforts entrepris pour éradiquer le transport illégal;
• - Développer un partenariat solide avec les partenaires;
• - Rendre obligatoire le certificat de vérification des antécédents judiciaires des chauffeurs de
taxi, mais sans frais pour le chauffeur;
• - Rendre obligatoire l’installation de caméras tant que les coûts n’incombent pas à l’industrie;
• - Prévoir des campagnes de publicité, d’information et de sensibilisation des différentes mesures
proposées;
• - Valoriser l’environnement du transport adapté et l’améliorer.
• - Développer une flotte spécifique de voitures électriques et hybrides et aménager les endroits
de recharge des véhicules électriques à l’aide de subventions gouvernementales
En mai 2014, la Ville de Montréal a fait une audition des mémoires sur les moyens d’améliorer la sécurité des chauffeurs de taxi et du transport par taxi à Montréal. Les acteurs de l’industrie et Uber ont chacun leur tour exprimé leurs idées quant à des pistes de solutions. Le BTM propose:
Selon M. Guillemette, les éléments importants sur la sécurité grâce à l’application et la technologie :
Pour les chauffeurs :
• - La connaissance de l’identité du passager : confiance et course plus agréable;
• - La conservation de toutes les données;
• - L’obligation du paiement électronique (moins d’argent liquide dans le taxi et le chauffeur est assuré d’être payé);
• - Aucuns frais supplémentaires pour le chauffeur;
• - Une meilleure sécurité psychologique.
Pour les usagers :
• - L’utilisateur recevra un message texte et saura qui est le chauffeur;
• - L’utilisateur peut suivre en temps réel la course et la partager avec une autre personne;
• - Les informations recueillies permettront de régler les plaintes rapidement : identités partagées,
possibilité de communiquer avec les autorités policières
Chaque trajet effectué par uberX au Canada est garanti par une assurance automobile de 5 000 000$ US. Dans l’éventualité d’un accident durant un trajet uberX, les passagers, piétons, autres automobilistes et la collectivité en général peuvent être assurés que les covoitureurs sont bien couverts par une assurance automobile d’entreprise en plus de toute couverture détenue par le chauffeur partenaire.
Sécurité des chauffeurs
La sécurité des chauffeurs de taxi et des usagers est une préoccupation de premier plan mise de l’avant dans la politique sur l’industrie du taxi entamée par la Ville de Montréal et le BTM publiée en août 2014. Le programme d’action visant à assurer une sécurité adéquate aux chauffeurs et clients y est également pour accentuer la lutte au transport illégal.
Ainsi, dans la controverse, plusieurs arguments se sont articulés autour de l’enjeu de la sécurité. Dès l’arrivée de Uber, les acteurs qui se sont positionnés contre ont dès le début questionné l’aspect sécuritaire du service, quant aux assurances, à la confiance envers un chauffeur qui n’a pas de permis…etc. Il s’en est suivi ensuite une série d’échanges et d’actions sur la question entre les deux parties