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Les règles doivent être les mêmes pour tout le monde. outre la sécurité des citoyens, c'est aussi la pérennité d'une industrie qui est en jeu./Ils citent notamment l'absence de tarifs fixes, soulignent qu'il s'agit d'un travail au noir non déclaré et que les antécédents du chauffeur n'ont pas été vérifiés, ni ses assurances ou sa formation d'ailleurs./es recettes fiscales qui reviennent dans les coffres du gouvernement est aussi un aspect dont les citoyens doivent tenir compte. 

@Doly Saliba - DPDCIT

@Poeti Les nouvelles applications de covoiturage commercial comme Uber, Lyft et Sidecar ont un potentiel considérable en milieu urbain. Les temps d’attente sont réduits, les prix aussi, ça contribue à diminuer la congestion et la pollution

@Vincent Geloso - Institut économique de Montréal

@ Leonel Beausejour - chauffeur de taxi

Pérénité

de l'industrie

Technologie

Licence

Le gouvernement devrait-il racheter les liences ?

Uber nuit-il à l'économie locale et nationale ?

Ville intelligente

Uber n’a aucun bureau connu au Canada et n’est pas non plus inscrite au registre canadien et québecois des entrerpises. à la localisation physique d’un serveur informatique est cruciale pour déterminer si une entreprise a un établissement stable dans un pays donné. « Un établissement stable, c’est de beaucoup attaché à l’occupation d’un espace physique. Et là, comme on est sur le web, on tombe dans des logiques interprétatives du commerce électronique. Les conventions sont un petit peu moins claires sur ces questions-là ; on n’est pas dans un cas de figure qui est clair comme de l’eau de roche ». 

@Organisation de coopération et developpement économique (OCDE)

@Allison Christian - Professeur en droit fiscal McGill

@Uber « C’est le problème avec la nouvelle économie : les entreprises peuvent opérer de partout et de nulle part à la fois, et les lois ne sont pas adaptées. Soit les législateurs ne sont pas capables d’adapter les règles, soit ils ne savent tout simplement pas qu’elles ne fonctionnent pas, soit ils s’en fichent carrément »

@OCDE Je comprends votre niveau d’intérêt, mais je n’ai rien à ajouter au-delà de ce que nous avons déjà déclaré : Uber se conforme à toutes les lois fiscales et paie ses impôts en conséquence, dans toutes les juridictions où elle est en affaires, incluant le Canada. 

@Uber 

À Montréal le prix d'un permis est d'environ 200 000 $ la popularité des applications de co-voiturage comme Uber fait diminuer la valeur de ces permis et cela représente un véritable problème pour les chauffeurs de taxi qui comptent sur leur permis pour garantir leur vieux jour.

Au Canada, toutes les sociétés qui ont un établissement stable sont soumises à des impôts avoisinant les 30%. Mais grâce à une structure complexe de filiales internationales basées aux Pays-Bas et aux Bermudes, Uber semble être exemptée des impôts sur les revenus qu'elle tire du service UberX

Anchor 5

Des dizaines de milliers de Montréalais ont utilisé Uber en moins d'un mois.

 

Une centaine de chauffeurs se sont inscrits, on a créé des centaines de jobs, des partenariats ont été créés avec plein d'entreprises,

@Jean Nicholas Guillemette -DG Uber Montreal

@Uber Il y a le camp des dinosaures qui disent qu’il faut interdire [le taxi citoyen] et il y a le camp de ceux qui disent qu’il faut l’encadrer afin de le permettre, c’est le camp de Projet Montréal

@Guillaume Lavoie - Projet Montréal

@M. Pecman - Bureau de la concurrence

@Uber Il est important d’éviter de paralyser les pratiques innovatrices favorables à une concurrence

ÉCONOMIQUE

Doit-on protéger les emplois des chauffeurs de taxi ?

Fiscalité

Doit-on favoriser la libre concurrence ou imposer des quotas de licence ?

Menace la pérénité de l'industrie"

Uber offrent-il une concurrence déloyale ?

19 Jan

2015

6 Fev

2015

26 Fev 2015

Manifestation des chauffeurs de taxi contre Uber

Uber fait circuler des pétitions à Montréal

Uber est interdit à Vancouver et Calgary

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L'oligopole empêche la libre concurrence

Doit-on favoriser la libre concurrence ou maintenir le quota de licence ?

Fiscalité

  • « Il faut arrêter de nous voir comme des compétiteurs ou comme des ennemis. On propose une option de transport additionnelle facile, accessible et flexible pour le citoyens tout comme Car2go ou le bixi ». – J-N.G.

  • «Si les politiciens écoutent un peu ce que les Montréalais demandent, ils vont continuer de travailler avec nous pour mettre en place une nouvelle règlementation» - J-N.G.

  • Uber veut être partout et nous évaluons constamment les nouvelles possibilités qui s'offrent à nous», 

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@Jean Nicolas Guillemette - Uberl

@Martin - Blog propos Montréal

@Poeti«S'il y a bien une industrie qui est relativement malade en ce moment au Québec, c'est bien l'industrie du taxi. Véhicule de qualité douteuse et des chauffeurs qui le sont tout autant dont certain sont de nouveaux arrivants qui connaissent à peine la ville. Un service à la clientèle relativement déficient et des technologies datant du siècle passé». 

@Taxi Diamond La séparation traditionnelle des Québécois entre fédéralistes et souverainistes est en train de laisser place à une séparation entre Québécois modernes et archaïques. Nous n’avons qu’à penser à ceux qui appuyaient la « charte des valeurs », à ceux selon lesquels nous vivons une situation d’austérité et à ceux qui s’opposent à l’arrivée des nouvelles technologies. Fort heureusement, cette vieille société est en train de disparaître peu à peu pour laisser place à une jeunesse ouverte sur le monde, qui comprend l’importance de la rigueur budgétaire et qui est prête à embrasser les bénéfices de la nouvelle technologie.

@Alexandre Meterrisian - Citoyen

@Abdel - Chauffeur chez Taxi Diamond

@Taxi Diamond Cette application m’intéressait beaucoup, mais Diamond m’a téléphoné pour me dire que je n’avais pas le droit de travailler avec Uber. Ils m’ont pénalisé. Je n’ai pas eu de travail pendant une semaine. 

@Bureau de la concurrence

@Poeti ces nouveaux modèles d'affaires ont le potentiel nécessaire pour offrir d'importants avantages aux consommateurs en stimulant la compétition 

Pérénité de l'industrie - innovation

@Uber La situation des chauffeurs de taxi doit changer puisque les frais d’exploitation sont exagérés : « on paie tellement de taxes que parfois, on n’arrive même pas. Ça va très mal. Il y a beaucoup trop de frais. On doit travailler minimum 12 heures par jour pour gagner 50$».

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